04.03.2016|Rolande Niogret

Quand j’ai passé le bac, le sujet de la dissertation de philo était d’expliquer ces deux citations apparemment contradictoires, et leur relation dans une existence: « l’intention vaut le fait », et « l’enfer est pavé de bonnes intentions ».

une émission scientifique télévisée extrapole sur ce qui arriverait si les choses ne s’étaient pas passées comme on l’a entendu. Qu’en serait-il si…

Moi je me pose une question plus importante et qui concerne chacun de nous en particulier : qu’en serait-il si Jésus avait laissé passer la coupe en disant : « Mon père sait que j’ai vécu selon ses désirs, plein d’amour pour tous. » S’il avait dit: « Je voulais bien mourir pour l’humanité, mais mon intention suffit ».

Cette bonne intention paverait l’enfer. Satan se frotterait les mains, la mort aurait gagné.

Que diraient mes invité si je leur souhaitais un bon appétit devant des assiettes pleines de « bonnes intention » ?

Jésus n’a pas laissé passer la coupe amère. Et celle qu’il nous donne maintenant déborde de vie et de bénédictions.

Es-tu l’un des invités?

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